Traces 1940.

 -  Traces et restes de Mai 40.  ( " en vrac !")   et ...8-..11 Novembre 1918 !.  et Tactique allemande Mai 40....

                    And , also, the last" traces" of the U.S Doughboys on the front line between U.S Army and the German Imperial Army, on the day of armistice ,11 November 1918 !  about administrative border of territories of the cities of Mouzon-Ardennes and Moulins Saint-Hubert-Meuse.- Inor..Remember. In two-three hectares-square , we found : - the place of one german-77mm gun, two places of M.G, the line of grenadiers, and their long holes; in front, one hundred meters rear away- south , near a fields-way , many U.S holes and small trenches; on Km away , towards South , the way-approch of the U.S Offensive of Meuse-Argonne ; it is necessary to preserve this piece of land and wood, for " remember" . T.Y.V.M........

  - SEDAN MAI 1940 :  quelques traces , celles laissées par l'A L C A , au sud-. Il s' agit des  Positions de l'artillerie lourde du .C.A qui " travaillait" avec la 55 eme Division d'Infanterie,  X eme C.A , qui tenait le front de Sedan au 10 Mai 1940 . :-116 eme R A L H, régiment d'artillerie lourde hippomobile , équipé de canons de 155 mm G.P.F , St Chamond ? et de 105 mm longs ( marque ?) . Ce Régiment  était Installé le long de la RD entre Bulson et Haraucourt , 400 à 700 mètres- Est de Bulson ; les cantonnements sont dans les  bois arrières ; sources : cartes- plans Bundesarchiv-Freibourg et  terrain-terrain ( si vous trouvez un téléphone portable, c'est le mien, perdu le 24 Février 200 8...)  

-Les artilleurs ont été chassés ou " dérangés" ( en Histoire, on ne s'expose pas trop , sans preuve réelle) par - semble-t-il , " des agents-Officiers Français à moto, porteurs d'ordres" , faux certainement ,; peut- être aussi , par des aéroportés déposés, en tenue et en armes, par des Fieselers ; propos à rapprocher des renseignements receuillis auprés de la belle- fille de Madame Depuiset, Madame Paulin , écrits de son beau- père, sergent au 147 eme RIF, donc , du coin, mis dans site " Blockhaus de Donchery": en effet, ce dit sergent, qui était prés de son capitaine de compagnie , a vu arriver " deux lieutenants - Français- intimant l'ordre de se replier ( à une unité d'infanterie...); ce à quoi le capitaine , trouvant la chose surprenante ( une estafette est TOUJOURS un lieutenant, toujours tout seul , à moto, et porteur d'un ordre écrit ; il n' y a jamais DEUX lieutenants ensemble : erreur ) a demandé les papiers, à ces deux officiers ; ce à quoi les pseudo-officiers français ont répondu en tournant les talons..( " cinquième colonne ?") .....Les restes des positions et des cantonnements, peu visibles  , et sont étalès le long de cette RD. Et en arrière-bois, on a trouvé du 7,95 daté de 40...tiré au fusil...dans le dos...fusil arrivé comment? en Faiseler? en parachute?....

. A proximité : village - cantonnements de Chaumont , aux murs et linteaux de portes ornés et sculptés.( et champ de bataille de 1642 , pendant la Fronde, pas signalé du tout , sauf par un petit bout de papier jauni et trempé ., dans un cartel, prés d' un chateau d' eau bas...)   

  .... 8 NOVEMBRE 2022.... petite tournée sur les anciennes positions de l'ALCA....YEN N'A PLUS ! le paysan a tout rasé, tout repris ses terres, y mis du blé; donc, plus de fosses à canons de 155 mm etc; il ne reste que des photos, au bas de la page; traces vues en début d'année 2022; elles y sont restées 82 ans !

        BULSON !  Les unités d'artillerie étaient:- en avant ( sur le bord! de la R.D!) : - un groupe II/ 185eme R.A.L.T ,T pour tracteurs, soit 12 pîèces, 8 ?, canons de145.155 mm Modèle 1916, photo de deux artilleurs mangeant derrière le canon culasse ouverte (site du 185eme); confusion avec le GPF, vu les fosses en croissant creusées pour la glissière de tube, reculant...- un groupe de 105 longs du IV/110 R.A.L.C.A , canons Schneider ???  Le groupe était sous la R.D,300 mètres plus loin vers l'Est; il y a dix ans il restait des queues de cochons, une gamelle en fer-parties au fort du Chénois... . De toutes façons, " si c'est pas l'un c'est l'autre", les R.A lourds , de réserve générale, ayant des 155 et des 105mm. Les artilleurs ,maximum 300 bonhommes, logeaient en granges à Bulson, village ne pouvant en contenir QUE 300 ! Donc, LA PANIQUE  DE BULSON A 2000 SOLDATS: C'EST PAS POSSIBLE!  MAX : 200 bonhommes, artilleurs chassés par des...rats, ou des buses, ou des civils à Mauser...

  Par contre, à signaler -je suis piéton, et ça fait 15-20 fois qu'on traine à Bulson, et ailleurs: " dans le bois arrière, Sud, derrière les pièces, il n'y a que de petits retranchements, dont DEUX POSTES de mitrailleuses, " dans le dos des artilleurs! c'est  donc qu'il y avait un problème latent... Et des "agents allemands" peuvent avoir été déposés plus au Sud, puis ont tiré dans le dos des artilleurs...ou faux ordres, false flag. Et il y a des endroits-encore- constellés de trous d'impacts de bombes légères de 50 kg, jetées en grappes, fine enveloppe ( Thélonne...)

  Seul le terrain parle; pas les bouquins ou les dossiers seuls; les deux oui.

  Dans les bois -- où se tenaient les artilleurs de 1940 et autres , nombreuses traces des combats-reflux de l' Armée Lanrezac d' Aout 1914; ils avaient essayé de contenir les Allemands sur la Meuse - combats de la Croix Piot- Donchery- , puis avaient retraité par la Bar, Bulson en combattant : nombreux étuis de 7,98 mm, tirés, culs d 'obus , dont obus à balles de 75 mm modèle 1897 " à charge mélangée", et...cartouches de Lebel- entières mais pourries bien entendu -  en surface !; preuves que le Lebel s' approvisionnait mal - pas pratique à charger le tube sous le canon, cartouches enfilées une par une ; " dans une salle , ça va", au combat, dehors ,quand çà pétarade , face à des fusils qui se chargent avec des lames-chargeurs , " çà ne va plus"; et çà doit être pour çà que les armées françaises ont reflué un peu plus vite ! par défaut de l' armement et du chargement , face à des fusils à chargement rapide !. - On  en était encore en 1870 , ou en 1885-90 au Tonkin ou contre le roi Béhanzin ! . Paresse intellectuelle et/ou nombrilisme.- . Plus loin : - Ferme du Lavoir sur le ruisseau du même nom , dans lequel était lavé le minerai de fer extrait pas trés loin , dans le calcaire, aux XVII, XVIII eme siècles- et avant aussi- raison du plan en damier de Bulson, village gallo-romain ( bonjour la pollution pour le village d' Haraucourt , en aval.)..( et Thonne le Thil également)

A propos de la position d 'ALCA ( vue à partir de documents-cartes demandés - il y a longtemps- aux Bundesarchiv-) : la position se trouve en bord de route , dans le talus , empiétant sur les champs ; à l ' entrée , d ' un côté , on trouve six grandes fosses, dont avec tôles -métro peu protègèes-sans caillou, terre seulement ( protection = zéro); ces fosses sont destinées aux téléphones , calculs des tirs ( comfort=zéro; donc calculs : pas trés bons); mais dans l ' entourage : - protection d' infanterie contre agents infiltrés = paras ou autres : ? ? ?/ rien ; fosse pour arme-DCA / ? rien, ou zéro ! Protection aucune , comme si on était " chez soi" , ou sur un terrain de manoeuvre ....Quatre ou cinq bonhommes décidés , ou un ou deux Stukas bien renseignés réduisent à néant cette position d' artillerie , primordiale : huit ou neuf piéces de 155 GPF  et un groupe - donc 12 pièces- de 105 mm longs , basées un peu plus loin...

-  Au sujet de la dite "cinquième colonne" , " qui n' a jamais existé" , mais qui a fait des dégats immenses dans les arrières français, ajoutés aux dégats immenses -eux aussi- provoqués par la Luftwaffe , du genre - "terreur à la Guernica,".: voir : l' Anecdote relevée dans le site " adelaitre.pagesperso.orange.fr" sur des évènements survenus à Clamecy les 15 et 16 Juin 1940 , et relatés par le docteur Frédéric Subert. "  Le 15 juin , le Mal des Logis MALHAPPE , du 123 eme R.A.L ( DCA légère) , corps de Réserve, qui retraite depuis les Ardennes , en combattant , avec les Allemands sur les talons, bloque avec une automitrailleuse - en panne- avec sa mitrailleuse , la RN 77 à l'entrée nord de Clamecy  ( Clamecy est dans la Nièvre , à la limite Nord du département , contre l' Yonne , et à 320 km de Sedan par la route ) ; les Allemands - Gross Deutchland- sont bloqués ; ils trouvent un stratagème pour débloquer la route : pendant la nuit, des " feldgrau " se mèlent aux réfugiés, passent le bouchon de route , et au matin,  le débloquent par le feu , en tirant dans le dos de l'équipe du dit Mal des Logis Malhappe" ( la traduction n'est pas littérale ,seulement l'esprit de l 'écrit). ...A côté , à 300-500 mètres du centre ville , et aprés la gare SNCF - grande et vide-...se trouve le petit monument dédié aux 45 Sénégalais massacrés " parcequ'ils étaient noirs" , à Surgey ( vers le Leclerc , ZI-ZA-ZC), ces jours de Juin 40. ( il est à signaler que les Allemands, en 1914- 1917 , ont résisté longtemps, au Tangannyka et Kenia et Cameroun, contre les Français et les Anglais , avec des soldats NOIRS, les Askeris , puisque les Allemands possédaient ces colonies là ! )( askeri , askari , mot turc , et arabe , voulant désigner  le mot soldat ; en Turquie  le SMIC ou son équivalent se nomme " askeri-para' = "l'' argent du soldat" - c' est pas lourd ! ; de la même façon , que : cipaye , cipayi , spahi , etc....)( et ces askeris , noirs, ont lutté contre Anglais et Français , dans les colonies allemandes , avec une misère de soutiens, jusqu' à l ' armistice du 11 Novembre , pour certains...Voir les canons de 105mm d' un croiseur coulé , remontés sur affut-charette , ou quasi, et qui ont empoisonnés les Anglais au Kénia ).

- Autre exemple de " falseflag"( false = faux , et flag = drapeau !) :  vers le 10 Juin, sur la Seine - région de Vernon, la 213 eme D I L ? ( L pour légère, division montée en quelques jours, et vraiment trop lègère..)  ( ou mieux : 8 eme DLIC / division légère d ' infanterie coloniale ; la 213 eme est peut-être une brigade...,? )  bloque des routes , dont une route, tenue par un petit sous- lieutenant de la Coloniale ( petit car mesurant 1,m59, montagnard des Hautes Corbières)  à la tête d'une section de cinquante bonshommes ( !!!) ; apparaisent des Peugeot 202 - celles qui  ont les" deux yeux "sous la calandre- donc V.L français d' un GRDI , montées par des soldats porteurs de casques français ; derriére , au loin sur la route , arrivent des camions allemands ; les porteurs de casques français sortent des V.L Peugeot , mais avec des uniformes allemands et commencent à arroser au pistolet-mitrailleur la position en bouchon de route ; bien entendu , les premières rafales des Hotchkiss les ont renvoyé chez Saint- Pierre...Et puis les coups de canon sont tombés , et , tout de suite encerclés par les camions qui filaient à travers champs, secs, donc roulables, montés par des fantassins , l'unité en bouchon de route a été volatilisée ; voilà comment on gagne une guerre ! Cà n'est pas pour ressasser , mais seulement pour dire la réalité des choses ( le dit petit sous-lieutenant a débarqué en Provence le 15 Aout 1944 en tant que lieutenant de la 9 eme D.I.C et ne s'est pas gêné pour courir à l'hallali, pour se consoler! ; mais il n'a jamais " avalé" l'apparition des grenadiers  " verts"  coiffés d'un casque français.. et qui sortaient de véhicules français et rafalaient... ( et eux , avaient des armes de saturation : P.M , F.M avec bandes de cartouches, et beaucoup de cartouches " tout de suite"). 

  Autres : dans site "grca.free.fr" , historique-grdi/66/escadron à cheval 66 eme GRDI,pdf , "de Pau ,15 juillet 1940, rapport du sous-lieutenant de Cabrol, 66eme GRDI , 53 eme D.I...." : " Nous arrivons sur les bords de l ' Yonne ( " aprés avoir oeuvrés beaucoup depuis Charleville, 12 Mai 40 !!! se battre, maneuvrer, retraiter, garder sa section de 29 cavaliers, manger, etc,....( Bon sous-lieutenant de réserve !) .Je deguise un de mes hommes en civil...il ira se ravitailler à Vaux....Il raconte notre histoire à une femme qu 'il rencontre ( " ben oui ; un petit soldat , c' est toujours bavard, surtout aprés un mois de crapahut dans les pires conditions !")....J'entends du bruit , je me retourne , 15 Allemands nous ont en joue .Ils ont été menés à la cachette par cette femme qui n ' est autre qu ' une Alsacienne appartenant au détachement allemand , qui stationnait à 500 mètres de nous ; ...prisonniers ." - Toute la France envahie était pourrie d' éléments en civil, ou agents, ou traitres , et qui prolongeaient, s' ils ne les précédeaient pas , les actions armées-combinées chars, avions, infanterie portée, motos....Le tout sous l ' oeil du mouchard..     ( " c 'est .... en vrac " ).( c' est aussi pour celà que le Maréchal Pétain a parlé d' armistive , " cessation des combats " , hélas , trop tot, ce qui fait que beaucoup d' hommes " ont arrété" ( le combat), et se sont fait " coffrer"; d' autant plus que beaucoup de tracts-avions , ou de tracts placardés( par agents ) promettaient " la fin de la guerre dans 15 jours...); des combats inégaux , plus , dix millions de pauvres héres sur les routes, paralysant les Alliés, donc , on ne peut plus rien faire ; donc , on arrête la partie de colin-maillard, " les adversaires " ne jouant pas le jeu !)

 - Voir aussi , " le pauvre 23 eme BCC " ( voir GBM) , écrasé sous les bombes boulevard Valaubelle , Auxerre , ce 15 Juin 1940 ... Ce , aprés s' être battu un peu partout dans les Ardennes, l ' Aisne, Balham-Gomont , et ailleurs.

 Autre exemple de travail d' agents, et Traces 1940 : - SEDAN . Ville trés connue pour sa bière ( " ya n ' a plus ") , pour son club de foot ( " ya n'a peu ; plus de sou , plus - on moins- de foot"; c' est de l ' économie , çà ; comme la courbe de Laffer !) ; également connue par les Allemands : 1870 , 1914 ,et 1940 . Et pour passer , ne pas se faire voir , donc , ne pas se faire tirer dessus, car vu par les observatoires français de la Croix-Piot , que fait-on , une fois dans Sedan ? et qu ' on a roulé depuis la douane de la Chapelle , sans s' arrêter , en esquivant les tirs de 155 mm ou autres - trés simple ; on fait passer un agent  - quelques jours avant- avec un pôt de peinture noire et un pinceau , et au droit- début de l ' avenue Philipoteaux- vue par la Croix Piot- ( dans l ' axe pile) - donc des observatoires français- , ce dit agent trace trois signes : un D fléché " vers la droite" et un D barré , plus loin : Weg gefärlich; fahren ganz verboten . Sur façades de la place du monument aux morts , route venant de Bouillon , Belgique .( témoignage, reçu il y a bien une dizaine d' années , d' un vieux médecin , qui habitait et consultait là - voir traces de sa plaque ; le médecin est resté-non évacué à Sedan les 10 11 12 13 et 14 Mai 1940)    Un peu plus loin , face à l ' arrivée de la RN 77 , qui vient de Bouillon , et va à Nevers...il y a le même D fléché, mais flêche   blanche vers la gauche , soit la rue du Petit Pont , hors de la vue des observatoires ( repérés !); cette rue mène direct à la Meuse , et au pont du Bouillonnais , le petit train ; ce pont était " à l' ombre" de grands marronniers , donc à l ' abri des vues , donc des coups ; à part çà , " le coup n ' était pas prémédité !".

  -Traces du camp des travailleurs espagnols , au bord de la RN  77 , entre Chémery sur Bar , Tannay et la Neuville à Maire, juste au nord de la foret du Mont-Dieu. Ces Espagnols, réfugiés Républicains, ou d' autres , anarcho- syndicalistes , ou anarchistes,   ou " pas contents", avaient fuient l' Espagne devenue franquiste ; ils  ont été requis pour travailler dans des Compagnies de Travailleurs ; A cet endroit  , ils ont creusé le long fossé anti- char qui allait du canal niveau chateau de la Cassine , jusqu ' au pied Est du bois du Mont-Dieu  ainsi qu 'un autre partant de la route - la Cassine- Sauville et allant  jusqu' à Omont - marqués sur carte allemandes :"Abholzung etwas 8 m breit" ( layon) et construit des blocs STG ou CEZF : le Balossier- Vendresse , la Briqueterie , Maison de Garde , tous non achevés  ; un autre fossé est creusé entre la Cassine- le Chaud Four , Sud Vendresse et Terron les Vendresse sur 6 km ( voir carte 1/50000) ; ces fossés étaient encore mal comblés  , ou pas du tout , en 1949 . ... Un autre camp " espagnol" se trouve dans un bois contigüe du P.O de Thonnelle , baptisé " Camp des Espagnols";  les Espagnols y étaient employés à creuser les fosses anti-char et une butte longue A.C qui fait le tour du bois au nord du P.O  de Thonnelle , bois donnant surThonne la Long ; ce camp a été occupé à l' hiver 1940 par des Polonais....( tranchées , niches , transformateur) . Les Espagnols sont partis , dispersés à l' Armistice; beaucoup partiront en Algérie, puis au Maroc , et s' engageront dans la Légion ou la 2eme D.B; d' autres seront attrapés , déportés à Mathausen , et y périront.( " escalier des Espagnols", où ils travaillaient , et étaient abattus , " un de temps en temps" , pour " une würste " supplémentaire pour le gardien tueur !- remember-.)  Renseignements sur cartes allemandes  reproduites sur les cartes françaises de 1936 , renseignées sur TOUT le dispositif français ( il ne manque que les latrines ) source :Bundesarchiv.  ( ...55.000 Espagnols rentreront dans les CTE,  (53!) compagnies de travailleurs espagnols-ou étrangers;" les Cies 31 et 32 feront des pièges anti-char dans le Norde-est, sur la Ligne Maginot",dans Revue Hispanique ,plume de Vincent Parello; "ils coûtent 66% par rapport aux Français". L"Armée les emploie, avec statut propre, mais se méfie d'eux, "on ne sait pas qui est républicain ,sincère, ou bien CNT, ou amar, ou trés-rouge, ou émeutier"...(la population également, surtout dans le Midi:"qui est qui?") . La tourmente de Mai-Juin en fera périr 5500 environ, sur leurs chantiers, ou dans la retraite.6000 iront dans la Légion).

  UNIQUE:     BLOC CANON  25mm et mitrailleuse Hotchkiss, détruit juste avant 2000; situé à Glaire, au dessus du canal de l 'Est, tout à côté d' une tourelle démontable 1934 ,dont il reste le socle; ce bloc avait comme champ de tir : l'embranchement canal et Meuse, la rive droite de la Meuse,dont l ' usine l 'Espérance ( endroit à l 'abri des vues et des coups choisi par les Allemands pour y réunir , assembler, lancer " le pont de circonstance" prélude à l ' invasion),et quelques 500mètres vers Sedan; entre le pont Ouest de Sedan gardé par un bloc F.M, et le bloc de Glaire, il y a une plage d'un Km seulement munie d' un F.M jouxtant le couvent de Glaire en tre l' usine Sommer , la Meuse et l ' Espérance : un petit réseau de fils courait en rive gauche ; c ' est peu ! Bloc détruit par la municipalité " on ne sait pas trop pourquoi " car à la place , il a : rien, sauf  de l ' herbe. .....Il y a quelques gens qui le cherchent , en vain ; " il était Là !.(photo S perso,TYVM; derrière : mon Alfa Spider 2000 ! .....).( celui qui veut cette photo peut me la demander , par amabilité et/ou politesse ; elle n ' est pas à vendre , car moi , je ne fais pas commerce de l ' Histoire , qui ne m ' appartient pas , le présent bloc étant à l ' Etat, ou à la république ou a l ' armée, ou à la communauté, ou à l ' Histoire ; façon de voir ..... Coordos : chrissama@wanadoo.fr ) ( coup de gueule; car j ' ai passé- prété une carte Bundesarchiv, et j ' ai revu la photocopie de cette carte , annotée par moi, sur un site de ventes; Colère , et retrait rapide de la dite; la citation directe / NPI au Proc était sur le feu ! prête à roussir le voleur ; " façon de voir ".....)

  Quelques blocs du "tour" de Charleville-Mézières " en construction",  quelques uns des 70 blocs de Meuse, tout le long de la Meuse,positions du 41eme Corps d' Armée de forteresse:61eme D Infanterie et 102 eme Div Inf de Forteresse , secteur de Pont à Bar à Givet , IX eme( malheureuse) Armée ,Gal Corap; Corps d'  armée fait plutôt pour "une surveillance active" , qu ' une résistance intense , tant "tout fait défaut"  ( Note/ bas); et pourtant , à Monthermé, ils se sont battus comme des démons; puis , le 15 Mai , ils ont été complètement tournés par derrière; de la même manière , que le 148 eme R.I.F Secteur Dom le Mesnil,Flize , Boulzicourt , Etion a été tourné , à Mondigny- Warnécourt , " par des éléments à vélo avec deux automitrailleuses !"; c ' est tout ! ( mais c ' est l ' art de la guerre) . Pour la petite histoire : la PZDiv qui a attaqué à Monthermé, comme celle sur Revin , est passée par où ? :mais tout simplement par la route de Willerzie, qui s ' arrête net à la frontière,juste devant  des marais qui sont " sur France" ; mais, un forestier belge avait reçu une commande de grûmes en cinq mètres ( payée) par ...quelqu'un ( Belge ? peut-être) " à entreposer sur place " comme celà se fait  ; les bois de cinq mètres étaient entreposés à limite France ( normal jusque là); dans la nuit du 12-13 Mai 40, les Pionniers ont fait un chemin de troncs :" le Chemin des Rondins", sur les 500 mètres de fagnes-marais, afin de rejoindre un chemin de terre qui mène aux Vieux Moulins de Thilay ! l ' affaire faite , deux PZDiv se sont engouffrées sur le plateau pour dévaler sur Revin et Monthermé. Logique ? Le "chemin des rondins "existe toujours, bien qu 'un peu moisi. Certains blocs à double façades d' armes, F C R ,comportent un emplacement de cloche cuirassée , non montée; toute la maçonnerie est à l ' état brut-brut , coffrages en bois en place.dans l ' ordre :FCR St Laurent, route Aiglemont-maison-privé ,Bogny Sud ,pont de Levrésy ( 37mm) ,Bogny-pont , Ardoisières , les Rochettes-pont-Fépin ,Joigny-la Roche aux Corpiats , FCR-cloche vide ,Calvaire De Ligneuil-Aiglemont-sauté .( puis camp des Espagnols-RN 77,la Neuville à Maire l 'Epinette)

                                                                      .  

    -  ........Une division allemande était également passée à Willerzie début Aout 1914, mais en empruntant divers petits chemins , moins sollicités par des véhicules plus légers et des fantassins. En ces lieux , à partir de 1942 , zones reculées, existait un maquis important, zone de parachutages , et filière d' évasion-receuil d' aviateurs alliés qui logeait chez Madame Fontaine , grande résistante ( connue en 1966),( puis le  tragique maquis des Manises). - Thilay est dans la vallée de la Semoy, en bas ( "la valleïïï ! ") ; et les moulins du village , sont aux  quatre diables , tout en haut sur les hauteurs sur la droite- Est de la route menant à Hargnies , aprés les Woieries....

 - ..... Il reste , " dans un coin" , préservés, environ 300 mètres de tranchées intactes ( intactes , mais ménage à faire), en arrière ,secteur Dom le Mesnil- Flize- les Ayvelles ( zone de 5 km " dans le vague , exprés !") ; ailleurs , tout a disparu , comblé; il serait bon qu ' une assoc reprenne le coin, pour montrer " comment c ' était il y a 75 ans , en 1939-40" , de la même façon , qu ' à Massiges , une équipe de courageux a repris un tracè de tranchées de 1914 -18 -, 80 mètres, 3 hectares , que quelqu'un voulait re-cultiver; c 'est ," pour la mémoire", pour montrer aux jeunes , ce que vivaient des jeunes , il y a bientôt cent ans - un siècle- pendant ces tem ps de misères ! Pour la mèmoire , pour ne pas qu ' ils périssent une deuxième fois. ( " Attention : il y a là-bas , dans un recoin , une musette de grenades quadrillées modèle 1935, goupillées,donc avec leurs bouchons allumeurs ; beware !)( en plus de coups divers , tirés par les Allemands, car ils tiraient, sur des gens qui se défendaient ardemment ! seuls quelques uns ont détalé ! )  

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  Note : la IX eme armée , " à pied" , sauf la 5 eme D.I.Moto(risée) a , dans ses rangs : deux reliques : - le  32 eme B.C.C, théoriquement " chars de combat" , mais hélas , d' une autre époque , car ils ont été vainqueurs aux " Cent Jours" , en 1918 : il n ' y a que des chars légers Renault F.T , tout juste bons pour de la surveillance et ,ou ,de la police ; - et la 3eme brigade de spahis, deux régiments de cavaliers , pour la découverte ; c'est eux qui reviendront , malmenés , par Bouillon et Sedan , et iront écrire une page de gloire à la Horgne , en bloquant une journée une PZDiv ; et on a compté cette IXeme Armée comme " mobile", puisqu 'elle a fait mouvement vers la Meuse belge , où elle est " morte", ne pouvant faire que celà....  

 

    

 

 

 

 

Les six photos de bois, sapins en bord de route, sur la gauche, chantier de bucheron, plus loin....encore tout visible début 2022....au 8 Novembre 2022: "ya plus rien", le paysan a tout rasé et y a mis du blé. Heureusement, je , nous , sommes passés par là pour relever un peu d'histoire, même si l'Histoire ça ne donne pas à manger! à digérer seulement. Voir les cartes renseignées des défenses françaises faites par  la Wehrmacht, Bundesarchiv-Freiburg.

 

L ' Histoire " en strates " . - Lundi 2 Novembre 2015 . D' ordinaire ,nous allons " au fort du Chesnois" , "unique objet de nos ressentiments"....Mais , aprés avoir un peu trop travaillé , à trois ( un 4 eme n' est pas venu, retenu) , nous sommes allés trainer dans les bois de Mouzon- , aux champignons.( sans outil, sauf des batons de marche...) ; surprise -surprises : l' Histoire " s' emboite" : des trous , tranchées , à contre-pente, français , en arrière des positions de la 3 eme D.I.N.A. Puis, en surimpression , dans le même sens, à côté, sur la même pente , des trous longs allemands typiques de 1917-1918,et d' autres faits en Mai 1940, juste aprés le décrochage des Français sur la bretelle d' Inor le 14 Mai sur ordre de Huntzinger ; les Allemands tâtaient le terrain en lisières de bois, et se fortifiaient tout de suite , comme à leurs habitudes , en 17-18........ Photos: " cuvette", diamètre 12cm ,  "trépied" diamètres: 75 et 70 mm; volet rectangulaire avec peinture verte-verte-feldgrau....?..?..?.  rivets alu , traces de cuir, emballages en carton mangés par les escargots, en 97 ans de bois....: container de transport de cartouches de 7,7cm, allemand. .... ; il s' agit de restes d' emballages de coups de 77mm , canon qui prenait en enfilade la RN 64 - sud Mouzon-, appuyé par des fantassins dans leurs trous et deux M.G.  50 M plus bas : trous des Doughboys U.S du II Novembre 1918 !....offensive Meuse-Argonne....Et plus loin , re-trous français , puis allemands 1940.;..un reste de panier  rapiècé au fil de fer fin ; et 100 ans aprés , çà tient un peu.

  C'est la ligne  d' arret exacte du 11 novembre 1918, ligne d' armistice, encore présente sur le terrain , dans les bois, presque 100 ans aprés, alors que partout ailleurs, tout à disparu et a été effacé ; à Vrigne-Meuse, lieu de la tête de pont, et lieu de la sonnerie du cessez le feu, il n ' y a pas de trace  il y a eu 80-82 tués français, sur les berges, dans les champs ; mais ils avaient peu creusé, abrités derrière le talus de la voie férrée pour beaucoup, matraqués par l' artillerie allemande postée en avant de Vivier au Court , à un km de la Meuse. ( ils ont failli être rejetés à la Meuse) ; et le cessez le feu a été sonné par Delalucque , et non par Sellier, qui n' a sonné qu ' un cessez le feu ponctuel à la Pierre d' Haudroy.

 Reconstitution d' un dit panier ( sommaire).    S.V.P : site coin de champ et coin de bois à préserver : c' est là que le 11 novembre 1918, les U.S doughboys, dans leurs trous, et l ' armée impériale, dans leurs trous longs, leurs deux fosses à M.G, et le canon de 105 mm, se font face lors de la sonnerie du cessez le feu , par les clairons ou bugles, de place en place..... LE " reconstitué" ;, d' accord , " c ' est pas un miracle !"; mais , pour les miracles , il faut aller à Lourdes, ou bien en Orient ( Moyen-Orient , " cé pas l' moment")

 

 .....   BLENHEIM de VRIGNE aux BOIS -  Ce Jeudi 19 Mai 2016 , frais le matin , chaud l ' A.M  : Mairie de Vrigne , au sujet d' un avion tombé le 14 Mai 1940 à Vigne aux Bois ,....Et dont un moteur , en étoile , trônait au milieu d' un étang - de la Fenderie- prés de l ' actuelle autoroute A 34...( petite cérémonie organisée par la municipalité de Vrigne aux Bois , et à laquelle  nous n ' étions pas conviés; le seul rapport avec , c' est que nous recherchons un bombardier - tombé- , qui n ' existe " nulle part" , alors que les Allemands récupéraient , et notaient tout " ) .Le fils du pilote , Antony , 76 ans , trois semaines au décés de son père , a cherché pendant 70 ans les traces de son père ,  Augustus HAWKS , pilote d' un Bristol Blenhein Mark IV, abattu sur les ponts allemands de Sedan. L' équipage a péri dans la chute de l ' avion , au sud de Vrigne , et a été enterré sur place ( puis déplacé). Ce n ' est qu ' en Janvier 2016 que le fils a su où ,  et comment son père était mort au combat , descendu par la Flak ; moments d' émotion ; le pére d' un Vrignois , jeune , avait récupéré des pièces ; et son fils a donné  à Antony un boitier -répartiteur d' oxygène, en souvenir de son père , et cet  aprés-midi avec historiens ( " ! ") anciens combattants et autorités..... Pour l ' Histoire : Blenheim , c ' est le nom anglicisé d' un village de l ' actuelle Allemagne , lieu de défaite française " trés pénible" ,: l ' armée française , plus de 50.000 hommes , se fait " coffrer" en entier par les Anglais et alliés , dans une guerre de- avec Louis XIV ,le 13 Aout 1704 à Blindheim et HÖchstädt , sur le Danube , par Malborough ( le même que " Malborough s' en va t en guerre , miroton - miroton mirontaine ....."; mais il en est revenu , couvert de gloire et d' honneur ! Et il est  aussi l' aïeul-aïeul de Winston Churchill )....( on se promène , dans l ' Histoire ....)........Petite cérémonie sous l ' égide de la municipalité de Vrigne aux Bois , acceuilleuse , Maire présent ;  présence pour le compte du Cercle Historique de Donchery," et au passage" , pour " 1940", site fourre-tout.  Moments d' émotion , car le fils retrouve là son père , même s' il a disparu il y a 76 ans ; il n ' est jamais trop tard .

C'est le deuxième enfant de pilotes tombés  en Mai 40 que nous voyons, le premier étant le fils du mitrailleur CLARK, tombé en Fairey Battle , vivant; et prisonnier ( avion jamais retrouvé : vrai en mai 2015; faux en septembre 2016 : avion retrouvé , plus une bombe de 135 kg, déminée......) voir " tombés du ciel.

     Pourquoi " la Fenderie "? , qu ' est ce qu ' une fenderie ? / C ' est un endroit " où l ' on fend "! ; et on fend quoi ? des barres - lingots de fer ( épaisses ) de la taille de deux pains au chocolat accolés , qui , à nouveau chauffés au four ( les deux petits pains ) , puis " rebattus" , deviendront des boulets de canon ... de 4 , de 6 , de 8 , de 12 ... ( pour le 4 et le 6 , c' est un seul petit pain ) . Et tous ces boulets partiront " à la guerre", aux guerres de la Révolution et de l ' Empire ...Pratique , " c ' est pas loin " .  Fabriques de Jean-Nicolas Gendarme , Vrigne aux Bois , concentrations verticales et horizontales ...Les fabriques d' armes , dont Charleville ,et "le Charleville 1777 , puis An II " partaient tous des Ardennes ....Y compris les canons de la Forge de Nouzonville et Neufmanil.....( et c ' est un mec des Corbières qui raconte tout çà.....). Pour doc sur le maitre de forges ( " un vrai de vrai ") , voir les livres de Ludovic Bailly....

" Vraie" barre de fer , déjà battue au mouton ou au martinet ?, trouvée dans cours de la Meuse ( au bord !), prés d' un ancien petit port; comporte une " queue" pour l ' appréhender à la pince, pince accrochée par une chaine au mouton ( car c' est lourd , à bout de bras) ; trouvé sur le chemin de la 2 e PZ Div qui s'apprétait à franchir la Meuse, sous Bellevue-Donchery....

 

 .....  Aprés lecture " intelligente" d' un doc sur Mai 1940 : - exploitation directe, à cinq, du Chénois et autre ; recherche du P.C " secret" , en fait , de combat , de 1 ere D.I.C , secteur arrière de Mouzon ; aprés midi chaude -trés chaud , bois épais ; au bout d' une  heure de crapahut " sous un soleil de chalumeau !" : " Banco" : on trouve les abris souterrains creusés dans le roc , pétés  au repli , donc descenderies OUT; pièces diverses rencontrées sur le terrain , au sol " sur le sol" : bout d' étui de lunette de tir ?, boite alu ?.... Contents-contents... Mais , mais  ...: problème français ; alors que les P.C de divisions allemands de 1918 , avaient , pour des raisons de praticité , un accés pratiquement direct au dit P.C , pour renseignements, prises d' ordres, et ventilation rapides des dits- avec un " carroussel " de circulation pour V.L ou motos ( voir P.C allemand - 1918 , d' Unchair ) , là , on a affaire à un cul de sac ! donc , côté peu ou pas pratique ; il faut que l ' estafette renseigneuse arrête sa moto, galope au P.C, puis reparte, en courant et saute sur sa moto avec son ordres : le temps perdu , en opérations , ne se rattrape JAMAIS . P.C bien planqué , efficace, solide, mais peu rapide. Un pièce de DCA, 13 mm? 25 MM était située en encuvement ; sont partis vite-vite , sur ordre de repli de Huntzinger...en oubliant l ' étui métallique de lunette de tir ..... L ' emplacement devait être une ancienne mine de fer, Moyen Age ? XVIIIeme siècle ?, Celtes ?...

  

 

Traces sur Monthermé,combats durs les 13-15 Mai 1940;parcours,au milieu des ardoisières abandonnées;combats contre la 6emPZDiv,Gal KEMPF;positions de la 4 eme DBMC,Demi Bigade de Mitrailleurs Coloniaux,de Pamiers,composée moitié-moitié Européens et Malgaches,codres:de Pinsun et Verdier. Petit blok,trés leger,pour mitrailleuse Hochtkiss,tirant vers le nord,vers l'Enveloppe,socle arrière,pour lever le pied et la selle de l'affut...MOM.

   

Case à 2.75mm mo.33; La Higny.Dans son bois-taillis-friches,versant tombant vers l'Othain.Neuve,jamais servie ?,jamais équipée,abandonnée...Et pourtant,belle.

 ...... TACTIQUE ALLEMANDE 1940 / tout simplement en se promenant sur le terrain, Est Warniforét,environ 800 mètres, prés de l'emprise de la V.F allemande de 1915, Autrecourt-Saint-Juvin-Marcq......Combats féroces entre 14 Mai et 18 Mai 1940,(puis 12 Juin), ligne Stonne-Beaumont-Inor-casemate de Margut (liaison avec la Ligne Maginot-Fort du Chénois !); la X eme PZ Div y est arrétée par le 3e RAM (auto-mitrailleuses),le 2 e RDP-dragons,et le 5e Cuirassiers....(puis combats jusqu'au 12-13 juin, mais là, la France est envahie par l'Ouest, Somme, Seine,puis Loire...) . Tactique:la ligne française est peu fortifiée, peu enterrée-pas le temps; les Allemands se mettent " au contact" en trous individuels ( peu rassurés, en fonction du volume des trous, et de leurs positions); ils tirent des fils téléphoniques-traces sur le terrain " sans détecteur !"; puis, l'artillerie lourde entre dans la danse, littéralement sous le nez des Allemands, dix à vingt mètres devant, et devant et sur les Français, devant lesquels les Allemands se sont positionnés; trous énormes de coups de 15 cm, "mis à la main",quelques 105mm, et du 220 ou du 210mm(éclats énormes !) ;Bonds des Allemands, qui s'emparent des petits trous français, aidés par des rafales d'armes automatiques; la ligne française se reporte 100 mètres plus loin ( pour le survivants !); et ça recommence,méthodiquement, sur cinq km;lutte pied à pied, mais les Allemands ont des débits d'armes trés supérieurs aux Français.Facile ,la victoire: mais elle sera chérement acquise (... une mitrailleuse M.G 1934 a un débit pratique de 200 coups-minute-pratique-, le F.M 1924-1929, avec ses chargeurs à 25 coups, seulement la moitié soit 100 coups-minute ( connu ! trimballé souvent en 1960-62 dans les épines): plus un débit de 5800 tonnes d'obus, bombes pendant un mois, dans le secteur Inor-Le Chesne, est " l'affaire est dans l'sac,hélas".... " Tirent bien,les Allemands !et trés bonnes transmissions, même filaires!" Même système que dans les bois d'Inor et Malandry, ou pour l'attaque victorieuse de Tobrouk par Rommel : coordination parfaite entre fantassins,chars,canons et aviation,le tout lié par des transmissions puissantes,coordonées,efficaces,précises ( c.à.d le contraire de "l'affaire du Chemin des Dames,Avril 1917).

 Restes de réseau et de queues de cochon..... "

           ......       Nous pas connaitre le mec- marabout, ou autre qui a écrit en dessous"...dans message.....Pas même village.